Il paraît que l’on ne choisit pas sa famille, mais que l’on choisit son avocat.

Et pourtant… ces derniers temps, j’ai noté un curieux phénomène, presque sociologique : vous semblez me choisir comme on choisit un extincteur – en espérant ne jamais avoir à l’utiliser, et en le redécouvrant un peu tard, lorsque les flammes léchent déjà le contrat mal rédigé ou la mise en demeure qui sent le brûlé.

Alors permettez-moi, en toute amitié juridique, de vous rappeler ceci :
📌 Je suis votre allié avant que ça chauffe.
M’appeler après la signature, c’est un peu comme demander à son médecin s’il fallait vraiment manger ces huîtres de gare à minuit : trop tard, cher ami.
📌 Un bon contrat évite un mauvais procès.
Et un bon procès, croyez-moi, ça n’existe pas. Il y a des procès nécessaires, des procès risqués, et des procès à éviter.
📌 Non, un avocat ne coûte pas cher.
Ce qui coûte cher, c’est d’avoir oublié d’en prendre un. Ou d’avoir copié un contrat trouvé sur Google… canadien, en anglais, et qui commence par « Whereas ».

Si vous avez souri, tant mieux. Si vous vous êtes reconnu, appelez-moi.

Nous gagnerons du temps, de l’énergie… et parfois même, un peu d’argent.

Avec tout mon sérieux professionnel – et ma bienveillance vigilante.